Cycle Capital, un pionner de l’impact et de l’intégration des facteurs ESG dans le domaine du capital de risque

En tant que plateforme d’investissement d’impact en capital de risque et leader dans le domaine des technologies propres, nous sommes impatients de partager notre premier rapport d’impact et ESG. Ce rapport rend compte de notre progression dans notre mission de permettre aux entrepreneurs, investisseurs et entreprises de répondre de manière innovante aux grands défis écologiques auxquels l’humanité est confrontée.

La COP26 s’est conclue avec le Pacte de Glasgow sur le climat visant à rendre opérationnel l’Accord de Paris, ce qui devrait se traduire par une accélération vers un objectif de carboneutralité. Dans ce contexte, nous devons maintenant définir le rôle du capital privé — y compris le capital de risque et le capital d’investissement — dans la transition vers le scénario net zéro.

Les économistes considèrent les changements climatiques comme le plus grand échec du marché de l’histoire de l’humanité, car ils affecteront le bien-être, le développement économique et la stabilité financière des générations présentes et futures. Mais ces défis écologiques représentent également une opportunité et une tentative sans précédent de remodeler l’économie mondiale. Et l’ampleur de cette perturbation majeure touchera tous les pays et tous les secteurs du marché.

En conséquence, il n’y a jamais eu de meilleur moment pour investir dans les technologies propres et les énergies et infrastructures vertes. Les gouvernements ont pris des engagements audacieux ces dernières années et, lors de la récente COP26, ils ont fixé des objectifs ambitieux et des politiques directrices afin de créer un écosystème propice aux investissements climatiques. Les investisseurs explorent activement les opportunités que cette transition industrielle et environnementale va créer. Le Boston Consulting Group estime que la transition vers une économie net zéro représente une opportunité d’investissement historique nécessitant un montant estimé entre 100 et 150 000 milliards de dollars américains au cours des 30 prochaines années, soit environ 3 à 5 000 milliards de dollars par an. Ce capital ne viendra pas uniquement des institutions publiques, et les investisseurs privés auront un rôle clé à jouer.

Les technologies actuellement dominantes sur le marché étant insuffisantes pour atteindre les objectifs de réduction des émissions qui doivent être atteints après 2030, nous devons absolument soutenir et mettre à l’échelle des technologies innovantes émergentes au cours de cette décennie afin de les déployer à grande échelle entre 2025 et 2030. Cela augure d’un avenir prometteur pour notre secteur, étant donné la capacité des sociétés de capital de risque et de capital investissement à découvrir, soutenir et accompagner des solutions innovantes dans leur passage à l’échelle, mais aussi à soutenir les fondateurs, à réduire les risques et à combler le fossé technologique, dans le cadre de la décarbonisation mondiale des secteurs de l’énergie, de la mobilité et de l’industrie. Il ne tient qu’à nous de saisir cette opportunité et de passer de la vision et de l’ambition à l’action et à l’exécution.

Chez Cycle Capital, nous croyons fermement que les investisseurs publics et privés doivent travailler côte à côte pour financer efficacement la transition vers une économie décarbonée. La finance durable doit devenir la nouvelle norme et, pour ce faire, un langage commun et des normes reconnues doivent émerger afin de mesurer, suivre et réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) dans les investissements privés. Nous constatons que les réglementations sur les divulgations climatiques sont en évolution en Amérique du Nord, mais malheureusement pas à un rythme assez rapide, ce qui fait que notre industrie risque de passer à côté d’opportunités. Alors que l’Europe déploie activement des réglementations sur les divulgations des acteurs de la finance durable, l’Amérique du Nord et le Canada doivent adopter des normes mondiales, déployer des outils et adopter des méthodologies qui soutiendront cette transformation, y compris dans notre classe d’actifs. À l’heure actuelle, même s’il y a beaucoup d’ambition, peu de fonds privés de capital de risque et de capital d’investissement sont en mesure de quantifier l’empreinte carbone et l’impact de leur portefeuille.

C’est dans cet esprit que nous sommes ravis de présenter notre premier rapport sur l’impact et l’ESG. Nos efforts sont un travail en constante évolution, mais nous espérons que ce rapport aura un effet boule de neige sur notre industrie.

Consultez notre rapport d’impact et ESG sur notre page d’impact : https://lnkd.in/e3eJX4YH